Les Huawei FreeBuds 6i, les derniers écouteurs de la série i de Huawei, sont désormais en vente à Maurice. Ils offrent une réduction de bruit améliorée et une multitude de fonctionnalités mises à jour. Ces écouteurs tendance et polyvalents sont dotés de la technologie avancée Intelligent Dynamic ANC 3.0, de basses percutantes et d’une autonomie longue durée. Disponibles à Rs 3,999 dans une palette de couleurs inspirée du céleste comprenant White et Violet, les FreeBuds 6i permettent aux utilisateurs de s’immerger dans un monde auditif où le style rencontre la substance, où chaque son ou rythme est cristallin et où les distractions disparaissent sans effort.
Les FreeBuds 6i intègrent la technologie de réduction de bruit la plus avancée de Huawei : l’Intelligent Dynamic ANC 3.0. Cette technologie représente le summum des capacités de réduction de bruit de Huawei, initialement présentée dans les écouteurs de la série Pro. L’Intelligent Dynamic ANC 3.0 s’adapte en permanence à votre environnement, analysant constamment les alentours et ajustant les paramètres d’annulation de bruit pour vous offrir une expérience d’écoute optimale.
Les améliorations du système ANC comprennent un 3-Mic System, une puissance de calcul 2,4 fois supérieure et un nouveau 11 mm Quad-magnet Dynamic Driver. Le 3-Mic System utilise deux microphones externes pour capter les bruits ambiants et un microphone interne pour détecter les bruits résiduels dans le conduit auditif. Pour offrir une réduction de bruit efficace sur une large gamme de fréquences, les HUAWEI FreeBuds 6i ont augmenté leur puissance de calcul de 240% par rapport à la génération précédente, permettant ainsi un traitement du bruit en temps réel dans divers environnements acoustiques. Le nouveau 11 mm Quad-magnet Dynamic Driver est également 50% plus sensible que la génération précédente, améliorant encore la qualité audio.
En plus du nouveau système ANC, les FreeBuds 6i se distinguent par une réduction passive du bruit améliorée. Cela comprend une Noise Filtering Chamber et des embouts d’oreille entièrement renouvelés, augmentant leur capacité à bloquer les sons indésirables. La Noise Filtering Chamber repose sur le principe de résonance de Helmholtz. Elle cible les bruits de fréquence moyenne particulièrement efficace entre 2 et 3 kHz, réduisant ainsi significativement les conversations de fond. Cela rend les FreeBuds 6i idéales pour des environnements variés comme les cafés et les bureaux. De plus, les nouveaux embouts en silicone liquide hypoallergénique offrent une meilleure étanchéité au bruit, disponibles en trois tailles avec une épaisseur supérieure de 75% et une paroi plus épaisse de 25%, garantissant un ajustement plus stable et confortable.
Son immersif
Les FreeBuds 6i sont conçues pour offrir une expérience audio captivante, grâce à leur haut-parleur de basses ultra-magnétique de 11 mm. Ce puissant haut-parleur est 50% plus performant que son prédécesseur, délivrant des basses profondes atteignant jusqu’à 14 Hz.
Fonctionnalités fluides pour une commodité optimale
Avec l’ANC désactivé, les HUAWEI FreeBuds 6i offrent une autonomie impressionnante allant jusqu’à 35 heures de lecture musicale avec un boîtier entièrement chargé, et 8 heures avec une seule charge des écouteurs. Même avec l’ANC activé, les utilisateurs peuvent encore profiter de jusqu’à 20 heures de lecture musicale avec le boîtier de chargement, ou 5 heures avec une seule charge. De plus, une charge rapide de 10 minutes permet d’obtenir 4 heures supplémentaires de lecture, idéal pour les modes de vie occupés.
Smartphones pliants
Apple décide enfin de s’y mettre
Le marché des smartphones pliants commence à prendre suffisamment d’ampleur pour qu’Apple se décide enfin à s’y mettre. Depuis l’arrivée des smartphones pliants, avec le Galaxy Z Fold de Samsung, il y a cinq ans, le marché n’a eu de cesse d’évoluer. L’entreprise sud-coréenne a pu montrer l’étendue des progrès réalisés en quelques années grâce à la gamme Galaxy Z, dont le nouveau Flip 6. (voir plus loin)
Pour autant, la part de marché de ces smartphones dont l’écran peut se plier et se déplier (pour disposer d’un téléphone à clapet ou d’une tablette, en fonction des modèles) n’a pas encore convaincu Apple, qui n’est visiblement pas très motivé à l’idée de sortir son propre modèle. Mais cela pourrait changer plus vite que prévu. Selon des révélations de The Information, déjà à l’origine de précédentes informations à son sujet, l’iPhone pliant devrait finalement sortir dès 2026.
Les spécialistes prêtaient jusque-là des intentions différentes à Apple, parlant plutôt de 2027, voire 2028, mais selon le média américain, l’appareil – qui porterait le nom de code « V68 » – serait passé du stade de concept à celui de développement intensif en compagnie des fournisseurs habituels de la marque. L’objectif serait de faire mieux que Samsung, notamment en matière de finesse, mais surtout du côté de la pliure, qui reste encore visible et palpable lorsqu’on utilise les Galaxy Z Fold comme Z Flip.
Le développement d’un iPhone pliant se fait au long cours. Apple y travaillerait au moins depuis 2018 avec deux prototypes jugés fonctionnels et s’ouvrant comme un Z Flip (avec un système de clapet, donc). Mais l’entreprise avait mis en pause ses projets en raison d’écrans jugés peu résistants. Les plans ont, toutefois, changé, ajoute The Information.
Selon les chiffres du cabinet d’analyse IDC, 25 millions de smartphones pliants pourraient être vendus en 2024. Si la valeur absolue reste faible (environ 1% du marché mondial), le nombre d’unités écoulées serait en hausse de 37%.
Des experts ont testé le Samsung Galaxy Z Flip 6
Le 10 juillet, Samsung a dévoilé son nouveau Galaxy Z Flip, un smartphone qui ne change pas beaucoup, mais qui s’enrichit avec l’intelligence artificielle. Face à la concurrence, notamment avec Motorola qui a dévoilé son Razr Ultra 50, fin juin, Samsung ne se laisse pas démonter. Début juillet, le constructeur sud-coréen a dévoilé ses nouveaux smartphones pliants, dont le Galaxy Z Flip 6.
Le Galaxy Z Flip 6 reprend les grandes lignes de son prédécesseur. À l’extérieur, on retrouve un écran de 3,4 pouces, avec une dalle Super AMOLED, qui permet de lire ses notifications, d’envoyer et de répondre à des messages ou encore d’utiliser Google Maps sans avoir à ouvrir le smartphone. À l’intérieur, le Galaxy Z Flip 6 est doté d’un écran de 6,7 pouces, de très bonne qualité, avec une dalle Dynamic AMOLED 2X. Qu’il soit ouvert ou fermé, le smartphone est agréable à prendre en main grâce à sa légèreté (187 g, comme le modèle précédent). Certains experts regrettent, néanmoins, que l’écran externe n’occupe toujours pas toute la surface, notamment à cause des deux capteurs photo, ce qui rendrait l’expérience plus agréable comme sur le Razr 50 Ultra.
Un temps réservée aux Galaxy S24, l’intelligence artificielle (IA) de Samsung est disponible sur le Z Flip 6, étant utile à bien des égards. Galaxy AI apporte surtout une nouveauté sur ce smartphone (ainsi que sur le Galaxy Z Fold 6) : le Studio Portrait. Il permet de transformer les portraits en esquisse, en cartoon 3D ou encore en aquarelle. Outre ces usages, Galaxy AI peut être utilisé pour traduire rapidement des messages dans une autre langue ou de les adapter à un style d’écriture (professionnel, détendu, poli…).
À l’origine de la panne informatique mondiale
Crowdstrike promet de modifier la manière dont elle gère les mises à jour
Une mise à jour contenant des données problématiques a été validée et déployée sur des millions d’ordinateurs Windows à cause d’un bug dans le programme de validation des mises à jour, selon Crowdstrike, la société de cybersécurité à l’origine d’une panne informatique mondiale, le 19 juillet. Elle souligne que la panne provenait d’un défaut dans son logiciel de test.
Dans un rapport d’incident, l’entreprise a indiqué que ce bug avait été transmis à des millions d’ordinateurs Windows (le système d’exploitation de Microsoft) et qu’elle modifierait à l’avenir la manière dont elle gère les mises à jour. Le logiciel Falcon de Crowdstrike est utilisé par des entreprises du monde entier pour mieux identifier et contrer les logiciels malveillants et les failles de sécurité. L’entreprise procède régulièrement à ce type de mise à jour, mais elle les déploiera désormais progressivement, afin que les problèmes puissent être détectés avant qu’ils ne soient propagés à grande échelle. « Il est très dangereux qu’un fournisseur de solutions de sécurité envoie une mise à jour complète à tous ses clients en quelques minutes », a fait ressortir Dave DeWalt, ancien directeur général de l’entreprise de cybersécurité McAfee, au Wall Street Journal. Microsoft a déclaré qu’environ 8,5 millions d’appareils avaient été touchés par la panne, les utilisateurs étant confrontés à des « écrans bleus de la mort » qui rendaient le redémarrage impossible.