Notre économie est criblée de dettes. Cela se répercute sur le social et sur la bonne santé du peuple. Des solutions alternatives sont évoquées par plusieurs voix. Nombre de pays à travers le monde ont légalisé la consommation du cannabis. Pour soulager les personnes souffrant de complications insolubles par la médecine moderne.
Des membres de la communauté rasta, entre autres, ont pris position récemment en faveur de ceux atteints de pathologies chroniques. Le cannabis est reconnu pour apporter un soulagement physique et psychologique aux patients, dont beaucoup retrouvent le sourire après avoir consommé ce médicament ancestral.
Nul n’est tenu de souffrir en ce bas monde. Encore moins lorsque la solution est à portée de main. Avoir recours au cannabis médical est un droit humain. Aussi est-ce un remède offert par la nature… à ceux estimant en avoir besoin pour mieux vivre et faire face au stress. Une situation psychologique pénible, aggravée par une mauvaise gestion des affaires du pays.
La canne à sucre semble morte. Le tourisme est dans « les râles » et le textile est au chômage technique. La solution serait pourtant sous nos yeux. Pour peu que nous changions de mentalités envers « l’herbe du gange ». C’est une question d’ouverture d’esprit. Il ne nous reste cependant plus que l’espérance. Prions ensemble peuple mauricien.
Nul n’est tenu à la souffrance, soit-elle physique ou psychologique. Soyons humains citoyens. Cela implique savoir allier la médecine scientifique à la médecine naturelle. En vue d’atteindre de meilleur résultat dans l’intérêt supérieur de la nation. Permettre l’utilisation légale du cannabis est une solution vers laquelle nous devrons tendre. Aidons-nous les uns les autres et le ciel nous aidera.
Est-ce que monsieur le Premier ministre aura la clairvoyance de franchir le pas en vue de venir en aide à ceux qui souffrent? Nous l’espérons suffisamment intelligent pour prendre la bonne décision. Ce sera aussi une façon efficace de casser les reins aux barons du narco-business.
Par ailleurs, le cannabis ne figure plus sur la liste des « dangerous drugs » de l’ONU. Il doit bien y avoir une bonne raison à cela. Est-ce à dire que l’économie du pays pourrait prendre un nouvel essor grâce au Gandia?
Nous avons dans cette même rubrique évoqué les aspects commerciaux et novateurs offerts par la fibre de cannabis notamment au niveau textile, sinon médical et touristique. Ce serait un plus pour la relance de notre économie. Nous avons le potentiel de redevenir l’étoile de l’océan Indien. Ne passons pas côté de cela.
Nos hommes politiques ne devraient plus tarder à réagir. Il est plus que jamais temps de prendre position. Un peuple en bonne santé est la garantie d’une nation prospère. Nous avons besoin de positivité et d’espérance. Appelons-en à l’intelligence et à l’humanité de nos honorables dirigeants. Un cri du peuple auquel nous nous faisons l’écho.