Mare D’albert – Suicide : La police compte entendre des proches de la Procurement Officer

La CID compte entendre les proches de l’Acting Procurement & Supply Officer, âgée de 31 ans et affectée au ministère du Commerce qui s’est suicidée la semaine dernière chez elle à Mare d’Albert. Ses proches avancent en effet qu’elle subissait des pressions au travail. Thèse que démentent les auteurs d’un communiqué du ministère concerné, où ils écrivent que la victime « n’a été sujette à aucune pression ».

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La police souhaite toutefois tirer l’affaire au clair, les enquêteurs cherchant à savoir si la trentenaire s’était confiée à sa famille pour expliquer son mal-être au travail. Ce n’est qu’après cet exercice que la police décidera si elle se tournera ou non vers le ministère du Commerce pour réclamer des explications de certains officiers.
Cette fonctionnaire avait mis fin à ses jours le 15 septembre en se pendant dans sa chambre.

En découvrant son corps, ses proches avaient coupé le tissu ayant servi à la trentenaire pour commettre l’irréparable.

La police, de son côté, n’a trouvé aucune trace de lutte, pas plus que de lettre d’adieu. Quant à l’autopsie, elle a attribué le décès de la victime à une asphyxie par pendaison. 
La trentenaire travaillait au sein du ministère de l’Éducation, où elle était Assistant Procurement Officer. Elle avait eu une promotion comme Acting Procurement & Supply Officer et devait finalement être transférée au ministère du Commerce le 6 juin. Ses proches sont d’avis qu’elle avait des problèmes au travail, raison pour laquelle elle avait pris des Vacation Leaves du 22 août au 11 septembre. Elle avait ensuite repris le travail le lendemain.

Trois jours plus tard, la trentenaire mettait fin à ses jours. Pour le ministère du Travail, « Mlle K. n’a jamais évoqué quelconque problème, ni au département des ressources humaines du ministère, ni à ses supérieurs hiérarchiques, au ministère des Finances, de la Planification économique et du Développement ». Le ministère avance que cette fonctionnaire ne traitait d’aucun dossier d’intérêt majeur. Le ministère se dit toutefois « prêt à collaborer pleinement à toute enquête liée à ce drame ».

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