Dans une correspondance qu’elle a adressée à la vice-Première ministre et ministre de l’Egalité des genres, la Fédération des travailleurs unis (FTU) demande à Fazila Jeeewah-Daureeawoo d’intervenir dans un cas allégué de violence verbale sur le lieu du travail à l’encontre d’un groupe de travailleuses de la part d’un superviseur.
Ce cas allégué de harcèlement au travail aurait cours, selon le syndicat, au sein d’une entreprise opérant dans le secteur de l’Agro-industrie. Selon les accusations soutenues par les quelques douzaines d’employées concernées, le superviseur incriminé userait même d’un langage outrancier frisant l’indécence.
Le syndicat accuse la direction de l’entreprise de “support” le superviseur concerné dans ses outrances et indique que les employées victimisées ont, longtemps, hésité avant de dénoncer cet individu “par peur d’être victimes de mesures de représailles”.
La fédération trouve que les “acts and doings” allégués de cet individu sont “unbelievable” et estime fermement qu’il est du devoir de la ministre “to protect those women”. D’où la demande de la fédération syndicale pour des “urgent actions”.