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Diaspora: 36 conférenciers à l’UoM du 20 au 22 février

L’Université de Maurice (UoM) réunit 36 conférenciers mauriciens installés à l’étranger pour des communications. L’intitulé de la conférence est comme suit: « Mauritian diaspora : showcasing international success ». Répondant à l’invitation du comité organisateur de participer, à sa manière, aux célébrations des 50 ans de l’indépendance, l’Université de Maurice (UoM) organise du 20 au 22 février une conférence internationale, réunissant des universitaires de la diaspora mauricienne.

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Ils sont 36 conférenciers à avoir répondu présent pour cet événement. « C’est une façon de reconnaître les personnes qui sont à l’étranger et qui font honneur à notre pays. Un pays qui reconnaît les siens fait du progrès », soulignait le Vice-Chancelor de l’Université de Maurice, Dhanjay Jhurry, jeudi 15 février, au siège de l’institution à Réduit. Selon lui, la raison d’organiser une conférence de cette envergure est de démontrer l’importance de la diaspora dans le progrès de l’UoM. Ainsi, l’invitation a été lancée aux universitaires qui travaillent dans des universités étrangères – États-Unis, France, Royaume-Uni, Australie, Japon, Suisse, Canada, Afrique du Sud, Chine et Corée du Sud. « On a essayé de trouver des gens qui seraient intéressés à y participer, sous la condition de ne mettre de côté aucune thématique », dit-il.

Les thèmes choisis sont, entre autres, l’intelligence artificielle et la robotique, l’économétrie, les TIC, la médecine, la nanotechnologie, les sciences sociales et humaines, le droit, le marketing, l’éducation et les relations internationales. « Tout ce que nous avons à l’UoM sera couvert durant ces trois jours », dit-il. Le VC ajoute que les réponses obtenues à l’issue des invitations lancées ont été très favorables. Ainsi, 36 conférences seront organisées et chaque conférencier abordera une thématique en particulier. Expliquant la diversité des thèmes, Dhanjay Jhurry avance qu’ils sont à l’agenda à Maurice comme à l’étranger. « Il y a une bonne corrélation entre les problématiques de notre pays et ce qui se fait par eux », précise-t-il.

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