Me Satyajit Boolell, le Directeur des poursuites publiques, a, dans sa dernière newsletter, mis l’emphase sur le phénomène grandissant du mariage de convenance (“sham marriages”) qui, selon lui, « s’accroît à un taux alarmant ». Il a été reporté plus de dix cas impliquant des ressortissants africains et européens depuis le début de l’année par les médias.
Le DPP explique que les cas de mariage de convenance « impliquent généralement des travailleurs étrangers qui sont restés sur le territoire mauricien alors que leur permis de travail a expiré ou encore des étudiants », qui sont restés à Maurice alors que leur visa a expiré.
Lire la suite dans Le Mauricien du 6 Décembre.