Le secteur touristique à Maurice et dans le monde a de beaux jours devant lui et offre des perspectives professionnelles aussi intéressantes que passionnantes. C’est Vatel Maurice qui le dit. Mobilité, évolution professionnelle, excellence nationale et internationale ou encore développement durable, le secteur présente de bonnes raisons de s’y intéresser après les études secondaires.
Pilier de l’économie, le tourisme a vite su rebondir et s’adapter au contexte sanitaire suivant le Covid-19. Le pays a accueilli près d’un million de visiteurs en 2022, confirmant ainsi sa résilience. Ce secteur reste parmi les plus générateurs d’emploi à Maurice. En effet, plus de 2 000 postes sont aujourd’hui à pourvoir dans l’industrie touristique, que ce soit au niveau opérationnel ou dans le management.
Renaud Azema, fondateur et directeur général de Vatel Maurice, estime que les métiers du tourisme offrent de belles perspectives de carrière : « Nous sommes aux côtés de nos étudiants pour leur permettre de tracer le parcours le plus adapté à leurs ambitions. L’on acquiert dans le tourisme des valeurs et des compétences qui sont en grande demande dans d’autres secteurs comme l’excellence, la résilience, la créativité ou encore le leadership. La génération actuelle a envie de faire dans sa vie future ce qui lui procurera le plus de plaisir. Ce n’est pas pour faire n’importe quoi, pas à n’importe quel prix et par pour n’importe qui », faut-il comprendre.
Autant de possibilités qui existent, incluant la très large variété de métiers que l’on peut exercer et la diversité des domaines, de la restauration en passant par les activités culturelles, ou encore le marketing digital et l’évènementiel. Par ailleurs, le secteur est en pleine mutation, avec, notamment les nouvelles technologies. Ces métiers demandent de plus en plus de professionnels qualifiés, d’où l’importance de choisir une formation à la hauteur de ses ambitions.
Responsable de 8 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, l’avenir du tourisme dépendra des réponses qui seront apportées aux problématiques environnementales et socio-économiques. Pour ce faire, l’industrie a besoin de jeunes professionnels pour mieux s’adapter aux enjeux et faire bouger les lignes.
Alors que le voyageur est prêt aujourd’hui à débourser une somme plus importante pour une alternative durable, les hôtels se transforment. De lieux de passage, ils deviennent des lieux de vie. Ainsi, vendre des nuitées n’est plus la seule fonction d’un établissement hôtelier. Il s’agit d’être à l’écoute des besoins de la clientèle, afin de développer la meilleure expérience possible.
De plus, les innovations technologiques permettent de repenser les modèles économiques, tailler des expériences clients plus soucieuses de l’environnement et plus personnalisées. Intelligence artificielle, data, revenue management, les nouvelles technologies font partie intégrante de l’industrie hôtelière et touristique.
Au sein de Vatel, on dit avoir compris « ce que les jeunes veulent et surtout ce qu’ils ne veulent pas ». Le Bachelor proposé prend justement ces demandes en considération : 50% de la pédagogie est consacrée à l’expérimentation. Dès la première année, l’étudiant est confronté à des situations réelles et affronte de vrais clients dans des environnements aussi variés qu’il y a d’établissements partenaires.
Le programme d’échange Marco Polo permet à l’étudiant d’étudier ailleurs qu’à Maurice, dans l’une des 55 écoles du réseau Vatel. Une opportunité de découvrir d’autres cultures et développer son réseau à l’international. Un accès à des formateurs experts de l’industrie offrant des échanges enrichissants et une qualité d’éducation hors pair. Un programme en gestion qui permet une flexibilité à l’étudiant quant au choix du secteur qu’il/elle souhaite intégrer à la suite de son Bachelor.
« Nous avons été témoins, et ce avec beaucoup de fierté, de parcours divers et variés au sein de Vatel. Alors que certains de nos Vateliens évoluent et brillent dans l’industrie du tourisme à Maurice et dans le monde, d’autres se sont révélés dans des secteurs différents en qualité d’entrepreneur, de responsable marketing et d’assureurs, entre autres. Nos formations offrent une base solide en gestion, ce qui leur permet de se tourner vers d’autres secteurs s’ils le désirent », conclut Renaud Azema.