JMLS, qui est à l’étranger, n’est pas au bout de ses peines. En effet, si certains riverains ont accueilli favorablement dans un premier temps ce développement dans leur localité, c’est parce qu’il offrait du travail et des emplois à certains habitants de Petit Gamin. D’autres sont nettement moins satisfaits de son projet à Balaclava.
Ils ont engagé un homme de loi pour faire respecter leur droit d’aller librement sur leur plantation de légumes. Selon eux, les nouveaux aménagements, dont des murs en béton sont des obstacles bloquant l’accès à leur terrain.
« Nou népli kapav ale lor nou terrain kot nou fine planté. Nou fine contacté un avoué pou protez nou manzé ». Nous montrant un document notarié et une carte de location des différents terrains, ils affirment en être les utilisateurs depuis des générations et trouvent injustes qu’ils en soient privés de façon arbitraire.
Enfin, il est utile de signaler que le développement de JMLS a été résisté par une petite maison délabrée en tôle habitée par des pauvres qui n’ont aucune intention d’évacuer ce qui ressemble à un squat…