Le ministère de la Santé a confirmé hier dans un communiqué un premier cas importé de Mpox à Maurice. Le patient, un nigérian âgé de 49 ans, a été testé positif après une analyse PCR réalisée sur des échantillons prélevés de ses lésions cutanées au Central Health Laboratory. Son état de santé est jugé stable, sans signe d’aggravation, et il est placé en isolement sous surveillance médicale intensive à l’hôpital Dr A.G. Jeetoo à Port-Louis. Ce premier cas de Mpox importé marque un nouveau défi pour les autorités sanitaires, qui s’engagent à surveiller de près l’évolution de la situation.
Avec cette première apparition de Mpox sur le sol mauricien, les autorités sanitaires ont immédiatement enclenché le Mpox Operational Plan visant à circonscrire tout risque de transmission communautaire. Une équipe médicale pluridisciplinaire assure le suivi du patient, et un exercice de traçage des contacts (Contact Tracing) est en cours pour identifier les personnes ayant été en contact rapproché avec lui.
Prévention anticipées
Afin d’aligner la réponse mauricienne sur les standards internationaux et de contenir tout risque sanitaire, le ministère de la Santé met en œuvre des mesures de prévention étendues, parmi lesquelles :
Renforcement de la surveillance aux points d’entrée : Des contrôles rigoureux sont appliqués dans les ports et aéroports pour dépister d’éventuels cas importés.
Mobilisation de ressources sanitaires : Des équipements de protection individuelle (EPI), des kits de diagnostic et un stock de vaccins Mpox sont déjà disponibles. Actuellement, 1 000 doses de vaccins, valides jusqu’en octobre 2031, sont prêtes à être distribuées en cas de besoin.
Distribution de vaccins conformes aux recommandations de l’OMS : Bien qu’aucun cas local ne soit actuellement recensé, le ministère est prêt à lancer une campagne de vaccination ciblée si la situation l’exige, conformément aux directives de l’Organisation mondiale de la santé.
Vigilance maintenue
Dans son communiqué, le ministère de la Santé a tenu à rassurer la population quant à l’efficacité des mesures mises en place. Aucune transmission locale de Mpox n’a encore été détectée, et les protocoles sanitaires sont activés pour limiter tout risque. Le ministère appelle à une vigilance collective, rappelant l’importance de suivre les consignes de santé publique et de signaler tout symptôme suspect aux autorités.
Avec cette première apparition de Mpox sur le sol mauricien, les autorités sanitaires ont immédiatement enclenché le Mpox Operational Plan visant à circonscrire tout risque de transmission communautaire. Une équipe médicale pluridisciplinaire assure le suivi du patient, et un exercice de traçage des contacts (Contact Tracing) est en cours pour identifier les personnes ayant été en contact rapproché avec lui.
Prévention anticipées
Afin d’aligner la réponse mauricienne sur les standards internationaux et de contenir tout risque sanitaire, le ministère de la Santé met en œuvre des mesures de prévention étendues, parmi lesquelles :
Renforcement de la surveillance aux points d’entrée : Des contrôles rigoureux sont appliqués dans les ports et aéroports pour dépister d’éventuels cas importés.
Mobilisation de ressources sanitaires : Des équipements de protection individuelle (EPI), des kits de diagnostic et un stock de vaccins Mpox sont déjà disponibles. Actuellement, 1 000 doses de vaccins, valides jusqu’en octobre 2031, sont prêtes à être distribuées en cas de besoin.
Distribution de vaccins conformes aux recommandations de l’OMS : Bien qu’aucun cas local ne soit actuellement recensé, le ministère est prêt à lancer une campagne de vaccination ciblée si la situation l’exige, conformément aux directives de l’Organisation mondiale de la santé.
Vigilance maintenue
Dans son communiqué, le ministère de la Santé a tenu à rassurer la population quant à l’efficacité des mesures mises en place. Aucune transmission locale de Mpox n’a encore été détectée, et les protocoles sanitaires sont activés pour limiter tout risque. Le ministère appelle à une vigilance collective, rappelant l’importance de suivre les consignes de santé publique et de signaler tout symptôme suspect aux autorités.