Londres s’agrippe à son BIOT envers et contre tout

Politiquement parlant, le British Indian Ocean Territory, cette fiction de l’Histoire de l’océan Indien, n’existe pas.
Pourtant, Londres continue à s’agripper à cette appellation au lieu de reconnaître l’archipel des Chagos comme partie intégrante du territoire de Maurice.
Le Guardian, quotidien britannique, invité par Pravind Jugnauth en février dernier pour donner un rayonnement international à la mission scientifique dans les eaux des Chagos, a recours à cette expression de BIOT dans un article cette semaine sur le cas des réfugiés du Sri Lanka bloqués à Diego Garcia.
L’article porte sur la victoire en cour des Sri-Lankais contre leur évacuation forcée de Diego Garcia. Le titre de l’article est tout simplement, British territory’s commissioner withdraws decision after supreme court challenge.
Diane Taylor de The Guardian ajoute que : “A group of Tamil asylum seekers stranded on a tiny British territory in the Indian Ocean have won their fight against being forcibly returned to Sri Lanka after a government climbdown.”
Pourtant, les Nations unies ont clairement indiqué que le BIOT n’existe pas et que l’archipel des Chagos fait partie de la République de Maurice.

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -