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Labourdonnais Waterfront Hotel : Un rêve conforme aux convictions de Michel de Spéville

Président fondateur du groupe Eclosia, Michel de Spéville, en homme avisé et visionnaire a su participer à la valorisation de Maurice grâce au Labourdonnais Waterfront Hotel. Il a eu l’audace de présenter un hôtel de ville cinq-étoiles ouvert aux Mauriciens et aux étrangers. Un rêve conforme à ses convictions et qui permet, 25 ans après, au Labourdonnais Waterfront Hotel de conserver cette aura de lumière et cette beauté épurée qui caractérise son authenticité.

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Jusqu’au 16 avril, le Labourdonnais Waterfront Hotel invite tout un chacun à découvrir ce lieu autour de différents programmes d’exception. En attendant son prochain projet – encore à l’état embryonnaire – d’un musée de la photographie.
Quand on franchit les portes du Labourdonnais Waterfront Hotel, on est conquis par l’accueil. On est happé par le décor qui donne au visiteur l’impression d’une entrée royale avec des ascenseurs qui montent et descendent à une vitesse vertigineuse. Et, si on vous disait que les ascenseurs du Labourdonnais ont parcouru 372 300 km en 25 ans. Autant d’allées et de venues pour des invités choyés ! L’hôtel compte 199 chambres, deux suites présidentielles sur six étages.

Le pari de Michel de Spéville a porté ses fruits. Le 23 décembre 1996, l’hôtel du Labourdonnais Waterfront, s’affichait en tant que premier hôtel d’affaires mauricien. Un cinq-étoiles faisant face au front de mer de la capitale et confortant Michel de Spéville dans sa conviction de faire de Port-Louis le centre des affaires par excellence.
Rolph Schmid, Managing Director de l’hôtel depuis 24 ans, retrace le chemin parcouru depuis les années 90, avec l’appel de la Caudan Development Ltd pour une transformation du Caudan en Caudan Waterfront. De l’idée ingénieuse de Michel de Spéville de développer ce lieu en tourisme d’affaires et, qui 25 ans plus tard, entre dans l’histoire en devenant le premier hôtel cinq-étoiles ouvert qui a réussi à briser des barrières sociales et est devenu une attraction pour tous les Mauriciens. Il salue aussi l’ingéniosité de Jean-François Adam, architecte, et Nick Human, architecte d’intérieur. Depuis 25 ans, l’hôtel n’a pas failli à sa mission de suivre les standards internationaux pour demeurer à la hauteur de son standing.

Ouvrant une parenthèse, Stéphanie Fischhoff, Group Sales and Marketing Manager, a déclaré que l’établissement hôtelier a aussi voulu mettre en lumière le personnel qui est resté fidèle à l’hôtel durant ces 25 ans. Parmi, on retrouve le chef Nizam Peeroo, Saroja Goinden, Nadine Beeroo. Il y a aussi les nombreux articles de presse bien conservés dans les archives retraçant toutes les belles années de l’hôtel.

Le carrefour des rencontres

Le Labourdonnais Waterfront Hotel a connu un Rebranding, le standard de luxe ayant été rehaussé et privilégiant le bien-être. Il a aussi subi un autre lifting en 2015 et en 2018, avec des chambres remises au goût du jour. Et si l’envie vous prend de feuilleter le livre d’or, vous verrez les noms des personnalités qui y ont séjourné : Nelson Mandela, Kirk Douglas, Catherine Zeta-Jones, la dame de fer Margaret Thatcher, Desmond Tutu, Dhabi Mbeki. La liste des hommes politiques et des célébrités est longue… En 25 ans d’existence, l’hôtel a accueilli 383 350 clients.

Stéphanie Fischhoff déclare pour sa part que des convives de 183 nationalités ont séjourné à l’hôtel en 25 ans. L’établissement a accueilli plus de 350 festivals culinaires et le nombre de couverts disposés dans les restaurants s’élève à 1 725 341.

On se souviendra aussi que le Labourdonnais Waterfront Hotel a été le pionnier des Happy Hours avec pas moins de 300 convives par soirée. Lors de ces Happy Hours, selon Stéphanie Fischhoff, les gens fumaient et jetaient de la cendre sur la moquette que la section Housekeeping a dû nettoyer le lendemain. « Il y a eu des bons moments dans l’histoire du Labourdonnais Waterfront. On a voulu montrer le changement. On avait demandé aux architectes lors de la rénovation de ne pas toucher à l’âme de cet hôtel. L’évolution s’est faite de manière naturelle », rajoute-t-elle.
Ce lieu est aussi réputé pour sa gastronomie. Et qui peut mieux en parler que le chef Nizam Peeroo ? Pour ces 25 ans d’existence, les intéressés pourront prendre l’apéritif dans la cuisine du chef Nizam Peeroo qui partagera aussi ses astuces culinaires autour d’un dîner exclusif, une seule table de 8 à 16 personnes, prévues pour les samedis 26 mars, 9 et 16 avril.

« Le Labourdonnais a été un précurseur à tous les niveaux de gestion et a su également rendre sa cuisine différente, étincelante, avec des produits locaux, une technique à la française rehaussée par la subtilité des épices. Cet héritage culinaire qu’on a à Maurice fait que la cuisine du Labourdonnais ne laisse personne insensible », a souligné Nizam Peeroo.
Pour ce passé recomposé de l’hôtel Labourdonnais, des tripodes ont été aménagés à l’entrée de l’hôtel. On y retrouve des images d’archives des bâtisseurs, Mahé de Labourdonnais, Michel de Spéville… Des clins d’œil du passé conjugué avec le temps présent comme un trait d’union entre l’hôtel et ses clients. Plus de 80 métiers différents sont exercés au Labourdonnais Waterfront Hotel qui a à cœur la responsabilisation sociale, car l’hôtel accompagne et soutient aussi des communautés en difficulté.

Le Labourdonnais Waterfront Hotel a étendu ses activités au fil des années dont A Table avec… Pour ce début d’année, l’historien Yvan Martial et l’ancien rédacteur en chef, Finlay Salesse, animeront une soirée le vendredi 8 avril, à 18h30. Les deux s’exprimeront sur le thème : “Labourdonnais 25 ans d’existence, témoin privilégié de la rade retrouvée” avant d’accompagner les convives pour un menu de quatre plats signé par Nizam Peeroo. Stéphanie Fischhoff a tenu à rendre hommage à Tristan Bréville du Musée de la photographie, décédé récemment, et qui a été un des premiers à se joindre au concept d’A Table tout en mettant certaines de ses photographies à la portée du Labourdonnais.

Garder intacte la mémoire

Elle a souligné que durant ces 25 années écoulées, 350 festivals culinaires ont réuni des chefs de cinq continents au Labourdonnais Waterfront Hotel. Le nombre de recettes réalisées tourne autour de 42 00 et les différentes brigades en cuisine mauricienne et étrangère ont beaucoup appris les uns des autres. Une fois, ces chefs de retour dans leur pays, ils ont introduit des saveurs mauriciennes dans leur menu. Pour rester dans le ton des découvertes, le chef Peeroo propose le samedi 9 avril une Masterclass autour de la cuisson de la vieille rouge, de 10h à 12h.

Il règne au Labourdonnais Waterfront Hotel un certain art de vivre pour faire rêver les convives. Avec le Covid qui a été un passage forcé de se mettre en retrait, on ne peut que se délecter de réentendre les échos des festivals culinaires de Labourdonnais. Selon Stéphanie Fischhoff, un festival qui restera longtemps dans les mémoires est celui de 1997 autour de la cuisine thaïe. La brigade était composée entièrement de femmes chefs en provenance du Mandarin Oriental de Bangkok. Et d’ajouter : « Les chefs qui ont visité les cuisines du Labourdonnais sont repartis avec les recettes de Nizam Peeroo, histoire d’ajouter du piquant à leurs réalisations. »

Martine Luchmun, la nouvelle Communication Manager, joue sur la carte évasion et dévoile la nouvelle activité de loisirs du Labourdonnais : voguer à bord d’un catamaran pour une balade dans le port avec Maya de Salle, docteur en anthropologie et fondatrice de My Moris. L’itinéraire comprend Trou-Fanfaron, Mer Rouge, les Moulins de la Concorde, le Bulk Sugar Terminal avec la possibilité de clore la balade en admirant le coucher du soleil. Le départ est prévu à 17h30, au Suffren et le retour à 19h.

« C’est incroyable. On oublie à tel point cet endroit a été un point stratégique pour Mahé de Labourdonnais qui a développé Port-Louis en seulement dix années et qui a apporté toute cette infrastructure autour de nous, ces bâtiments d’époque. Maya dépeint très bien cette atmosphère prenante autour de la balade dans le port à bord du catamaran », fait ressortir Martine Luchmun.

 

LES PETITS PLUS DU LABOURDONNAIS
Poulet makhani, un des best-sellers
Avec une carte revue deux fois par an, le cœur de palmiste reste le plus coté car il peut être servi braisé ou en salade. Il y a aussi la vieille rouge qu’on trouve dans les eaux mauriciennes, réputée pour sa chair fine explorée en mille recettes. Les plats les plus réclamés par la clientèle depuis plus de 25 ans restent incontestablement le curry poulet crevette et le poulet makhani.

Franco Bowanee et son étoile Michelin
Exerçant au château hôtel 5e de Vault-de-Lugny en France depuis 2019, Franco Bowanee a été le premier chef de l’une des brigades de Nizam Peeroo. Il a décroché une étoile Michelin.

Post Box, le cocktail des 25 ans du Labourdonnais
Conçu dans la pure tradition de la mixologie, le Post Box 96 est le cocktail produit par le Labourdonnais Waterfront Hotel pour ses 25 ans. Avec une senteur qui rappelle l’océan, les épices dont l’anis étoilé, le thym et l’ananas pour son arôme prononcé et son côté à la fois doux et acide. Le tout est rehaussé par une touche piquante d’un gin premium et d’une infusion de tonic.

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