Le 6 septembre dernier, quatre jeunes de la communauté LGBT avaient saisi la Cour suprême pour contester l’article 250 (1) du code pénal qui, selon eux, « viole nos droits fondamentaux et notre liberté » et est « inconstitutionnelle ».
La Cour suprême leur a donné le 12 juin l’autorisation d’aller de l’avant avec leur plainte constitutionnelle. Un autre jeune avait déposé une plainte constitutionnelle devant la Cour suprême, demandant à la justice de décréter que cette partie de la loi est « anticonstitutionnelle » et « illégale », sanctionnant un acte consentant entre deux adultes.
Par la suite, cinq personnes avaient déposé une plainte constitutionnelle pour demander que « la sodomie ne soit plus considérée comme un délit par la loi ».
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