Elle n’a pas trouvé preneur malgré les initiatives engagées par le ministre des Finances, Renganaden Padayachy pour la “bayanter” au premier offrant, mais cela ne l’empêche pas de continuer de plus belle avec ses mauvaises pratiques gestionnaires.
Pas besoin de grande devinette pour reconnaître la branche “zugader” de la State Investment Corporation dont aucun repreneur n’a voulu et qui s’arrange pour se distinguer dans tous les mauvais compartiments de la gestion calamiteuse des organismes para-étatiques.
La dernière affaire qui agite les casinos est celle de la nomination imminente d’un Assistant Surveillance Manager après un exercice d’appel à candidatures qui dégageait, même à distance, un fort parfum de dé pipé en faveur d’un cadre qui s’est particulièrement distingué dans le registre du retournement de vestes.
Si les candidats qui ont choisi de s’auto-exclure de la mascarade n’attendent que sa nomination pour décider d’une action devant la justice en vue d’obtenir réparation, d’autres posent carrément la question de savoir si c’était vraiment une priorité de remplir ce poste à un moment où la rengaine convenue chantée en boucle par la direction est que la caisse est vide.