Opération Maradiva, Lakaz Mama : La valise mauve, susceptible de faire basculer l’empire d’Angus Road

  • Le Luggage Tracker avait été placé dans la valise aux Rs 113 827 621 en roupies et devises étrangères sous le contrôle de Josian Laval Deelawon
  • Les services de Computer Forensic de la FCC sous pression de confirmer les liens de Remote Control avec le propriétaire des trois valises du 24 novembre 2024
  • Pravind Jugnauth au CEO de MyGroup : « Mo ena enn ti zafer pou anvway twa ek enn madam pou pran kontak ar twa »

Un luggage tracker s’installe au centre des convoitises de l’opération Maradiva, Zanfan Lakaz. Outre les aveux du Chief Executive Officer du Mygroup, Josian Laval Deelawon, au sujet de la provenance des trois valises et d’un sac contenant une somme de Rs 113 827 621, libellées en roupies et en devises étrangères, sans compter sept montres des marques Cartier et Rolex, la menace sur l’empire d’Angus Road se présente sous la forme d’une valise de couleur mauve, couleur politique de plus en plus détestée par l’ancien Premier ministre et leader du Mouvement Socialiste Militant (MSM), Pravind Jugnauth. Et cette valise recèle un exhibit devant apporter la preuve irréfutable de l’identité du propriétaire de ces embarrassantes valises, surtout du contenu allant dans le sens du délit de blanchiment de fonds. Un luggage tracker de la marque Apollo avait été placé dans cette valise mauve, avec un montant de Rs 108 754 000, sous le contrôle de Josian Laval Deelawon depuis au moins le 24 novembre de l’année dernière.

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À ce stade, au QG de la Financial Crimes Commission, cette pièce à conviction, détectée depuis le samedi 15 février, est jalousement gardée en attendant un exercice complet de computer forensic auditing devant se déroulant dans les laboratoires au QG du Réduit Triangle. Les conclusions du décryptage de la mémoire de ce gadget informatique (voir description plus loin) pourront jeter un éclairage plus précis autour de l’envergure de l’épisode Defalke Valiz intié au lendemain de la cinglante défaite de l’Alliance Lepep aux élections générales du 10 novembre 2024.

Des recoupements d’informations effectués des milieux proches des limiers de la Financial Crimes Commission, organisme qui a assuré le relais de cette enquête suite à la double saisie de la Major Crime Investigation Team dans le Nord, les findings révélés par le luggage tracker pourraient constituer des pieces of unrebutted evidence contre l’ancien Premier ministre et leader du MSM, Pravind Jugnauth, ou son entourage. À ce jour, face aux aveux de Josian Laval Deelawon au sujet de l’identité du propriétaire des valises, Pravind Jugnauth joue à Ponce Pilate.

En effet, de manière systématique, celui qui se présente comme étant le prime suspect, puisque les valises incriminées ont été saisies en sa possession, maintient, à différentes étapes de son interrogatoire à la Financial Crimes Commission, une unique version des faits. Josian Laval Deelawoon affirme que lors dîner du 24 novembre 2024 à Maradiva, Pravind Jugnauth lui aurait déclaré : « Mo ena enn ti zafer pou anvway twa ». Il devait aussi ajouter que « enn madam pou pran kontak avek twa. »

Même si à ce stade de l’enquête, Josian Laval Deelawon n’a pas encore mis de dates précises quant à la séquence des événements post-24 novembre, il confirme que la dénommée Devianee Ramchurn, ancienne maire de la municipalité de Vacoas/Phoenix et proche du clan des Jugnauth, aurait débarqué chez lui dans le Nord avec des valises. Toutefois, les tentatives de la Financial Crimes Commission de verser dans le dossier à charge des enregistrements des caméras du Safe City Network dans les parages d’Angus Road ont échoué.

« Les enregistrements autour de cette période, soit vers les 24 novembre 2024, dont datant de plus d’un mois, ont déjà été overidden dans les archives du Police Main Command and Control Centre », faisait-on comprendre à Week-End en fin de semaine en vue de confondre la prévenue Devianee Ramchurn au sujet de ses mouvements avec les valises. Cette dernière, qui a été remise en liberté sous caution lors de sa comparution, mardi, devant le tribunal de Pamplemousses, nie toute complicité dans les déplacements accompagnés des trois valises et d’un sac avec les Rs 113,8 millions.

Toutefois, la mémoire du luggage tracker placé dans cette valise de couleur mauve et contenant quelque Rs 108 754 000 pourrait mettre plus d’un d’accord au sujet de sa participation dans ce réseau de Defalke Valiz Larzan. Avec Josian Laval Deelawon confirmant aux enquêteurs de la Financial Crimes Commission la présence de cet Air Tag Apple, même si avant la saisie, il n’était nullement au courant de ce gadget électronique, la prochaine étape sera un computer forensic auditing des informations disponibles.

Le premier élément que tenteront d’établir les computer scientists de la Financial Crimes Commission demeure l’identité de la personne autorisée à manipuler le remote control ou encore de suivre les mouvements. En parallèle au décryptage du tracker, les spécialistes de l’IT Unit de la police seront appelés à décortiquer les mémoires des téléphones cellulaires, des tablettes, iPads et autres équipements informatiques saisis lors de la perquisition à Angus Road le samedi précédent.

La comparaison des données puisées du luggage tracker et les informations retrieved des téléphones et autres ordinateurs des Jugnauth devra déboucher sur un pattern susceptible de faire progresser de manière scientifique cette enquête axée sur le délit de blanchiment de fonds et aussi d’établir de manière formelle les suspects impliqués das le réseau de Maradiva, Lakaz Mama.

Les findings de l’analyse des données de l’Air Tag d’Apple devront également confirmer les détails des dépositions de Josian Laval Deelawon ou encore de Chandreao (Nitish) Oomah. Au moment de son arrestation, ce dernier avait fait comprendre que c’est à la demande de son patron qu’il avait gardé la valise à son domicile de Terre-Rouge. D’ailleurs, il devait avouer qu’il ne disposait pas des clés pour ouvrir la valise. « Depi zanvie, mo patron Josian inn donn mwa valiz-la pou garde », souligne-t-il aux questions des enquêteurs de la Financial Crimes Commission, en ajoutant que « mo patron ki’nn donn mwa sa pou garde. Mo’nn fer li konfians. »

Entre-temps, la prochaine convocation de Kobita Jugnauth, qui a été allowed to go dans la soirée de samedi d’avant, pourrait s’avérer déterminante. Elle aura à fournir des explications au sujet de la présence de documents personnels, dont des documents de voyage et autres reçus, soigneusement gardés dans la valise saisie chez le partenaire d’affaires de Josian Laval Deelawon à Terre-Rouge. Dans le ruling pour la remise en liberté de Pravind Jugnauth, le magistrat de la Bail and Remand Court fait état des détails de la valise de Terre-Rouge, notamment « some documents in the name of the applicant (Pravind Jugnauth) and the applicant’s wife (Kobita). »

La Financial Crimes Commission devra également la confronter aux détails disponibles et versées dans le dossier d’enquête au sujet des montres Cartier et Rolex, toujours dans la même valise de Terre-Rouge.
Mais en fin de semaine, aucune indication n’était disponible quant à ce prochain rendez-vous de Kobita Jugnauth au QG de la Financial Crimes Commission pour démêler l’écheveau de la Maradiva Connection, avec un potentiel conséquent de rebondissements après la trêve de Maha Shivaratree.

Un autre aspect de l’enquête qui mérite attention concerne la provenance des devises étrangères ou encore des coupures bancaires locales. À ce jour, la Financial Crimes Commission dispose de très peu d’éléments lui permettant de remonter la piste de ce réseau parallèle, voire illégal, de devises étrangères dans le circuit local.

Luggage Tracker : une révolution pour les voyageurs, mais pas que…
Nombreux sont ceux à avoir vécu cette frustration : attendre devant le tapis à bagages pour réaliser que la valise n’est jamais arrivée à destination. Pire encore, certains découvrent que leurs affaires ont été envoyées dans un autre pays sans explication. C’était avant l’existence des traceurs de bagages.

Si l’AirTag est devenu un allié incontournable pour les voyageurs souhaitant éviter la perte de leurs bagages, il offre également de nombreuses autres utilisations au quotidien. Grâce à son système de géolocalisation Bluetooth et au puissant réseau Find My, l’AirTag permet de retrouver bien plus que des valises perdues.
Au-delà des bagages, l’AirTag peut être utilisé pour suivre des valises ou colis de valeur. L’enquête de la Financial Crimes Commission dans le cadre de l’opération Maradiva, Lakaz Mama en est la preuve flagrante et incontestable.

Comment fonctionnent ces traceurs ?
Les traceurs de bagages comme l’AirTag d’Apple, le Samsung SmartTag et le Tile Mate permettent de suivre la localisation de ses affaires en temps réel. Ces petits dispositifs utilisent la technologie Bluetooth pour se connecter aux smartphones à proximité et afficher leur position via des applications dédiées.
L’AirTag d’Apple est particulièrement performant grâce au réseau Find My, qui exploite près d’un milliard d’appareils Apple dans le monde pour retrouver un objet perdu. Les alternatives Android, comme Tile et SmartTag, fonctionnent sur le même principe, mais avec un réseau généralement plus limité.

Pourquoi utiliser un traceur de bagages ?
✔Tranquillité d’esprit : Vous savez exactement où se trouve votre valise, même si la compagnie aérienne ne peut pas vous répondre.
✔Récupération plus rapide : En cas de perte, vous pouvez fournir la position exacte de votre bagage aux agents de l’aéroport.
✔Autonomie longue durée : L’AirTag fonctionne plus d’un an, tandis que certains modèles de Tile peuvent durer jusqu’à trois ans.
✔Résistance à l’eau : La plupart des traceurs sont conçus pour résister aux éclaboussures et aux intempéries.

Combien ça coûte ?
Les trois marques les plus utilisées mais il y en d’autres
•AirTag d’Apple : 39 € l’unité, 129 € pour un pack de 4 (Apple Store).
•Tile Mate : Environ 60 € l’unité, 110 € pour un pack de 4.
•Samsung SmartTag : Environ 40 € sur Amazon.
[…]

Les limites de l’AirTag
— Pas un traceur GPS en direct : L’AirTag fonctionne via Bluetooth et dépend d’autres appareils Apple à proximité pour signaler sa position. Il ne fournit pas une localisation en temps réel comme un vrai GPS.
— Limite de distance en mode individuel : En dehors du réseau Find My, un AirTag seul a une portée de quelques dizaines de mètres avec un iPhone.
— Non recommandé pour le suivi des personnes : Apple a mis en place des mesures pour éviter tout usage abusif, notamment des alertes sur les iPhones détectant un AirTag inconnu à proximité.

Autres utilisations
*•Retrouver ses clés
•*Suivre un sac ou un sac à dos
•*Sécuriser son vélo
•*Localiser sa voiture
•*Suivre des objets de valeur en voyage
•*Retrouver un animal de compagnie
•*Ne plus perdre ses objets du quotidien
Pour les voyageurs réguliers et les autres utilisateurs, investir dans un traceur de bagages est un choix judicieux qui peut éviter des heures de stress et augmenter considérablement les chances de récupérer une valise égarée rapidement.

Cour — Depuis dimanche 23h : Deux cautions de Rs 1,5 M pour l’ex-PM Pravind Jugnauth
— Le magistrat Chineah : « This Court is satisfied that there is sufficient reliable incriminating evidence on record […] and that the nature of evidence is strong »
L’ancien Premier ministre et leader du Mouvement Socialste Militant (MSM), Pravind Jugnauth, est liberté provisoire depuis dimanche soir en marge de l’enquête de la Financial Crimes Commission pour le délit de blanchiment de Rs 113 827 621 dans trois valises et un sac. Exceptionnellement, la Bail and Remand Court — Week-End Court était restée ouverte jusqu’après 23 heures dimanche dernier, le temps de permettre à Pravind Jugnauth de pouvoir rentrer chez lui après une nuit au Moka Detention Centre suite à son arrestation aux petites heures ce même dimanche matin.

Dans un premier temps, soit dans la nuit de dimanche à lundi, Pravind Jugnauth avait été libéré sur parole. Ensuite, il a dû s’acquitter de deux cautions de Rs 750 000 chacune, soit un total de Rs 1,5 million et d’une reconnaissance de dettes de Rs 5 millions le lundi matin devant le tribunal de Pamplemousses. Il doit également se soumettre à une série de conditions imposées à des prévenus en liberté provisoire, sauf qu’il n’aura pas à se présenter régulièrement au poste de police le plus proche de sa résidence officielle d’Angus Road.

Toutefois, l’une des conditions, à savoir que Pravind Jugnauth ne doit communiquer avec aucune personne en lien avec l’affaire, sauf avec les autorités ou la Cour, suscite des interrogations, dans la mesure où le nom de son épouse Kobita Jugnauth a été versé dans le dossier à charge (FCC OB 133/25) de la Financial Crimes Commission.
Après la séance initiale d’interrogatoire menant à son arrestation et sa détention le week-end dernier, l’ancien Premier ministre devra s’attendre à faire régulièrement le va-et-vent au QG de la Financial Crimes Commission jusqu’à la conclusion de l’opération Maradiva, Lakaz Mama. L’un des points préliminaires devant être cleared de manière formelle concerne les relations avec Josian Laval Deelawon.

Le leader du MSM parle de contacts lors des social gatherings sur le plan politique. Mais les photos en circulation trahissent une proximité personnelle au-delà de tout soupçon. Mais déjà, le ruling de la bail hearing de dimanche dernier apporte des précisions de taille dans cette affaire.

À titre de témoin, le paragraphe 25 des 40 du ruling du magistrat Rishan Chineah, siégeant à la Bail & Remand Court (BRC) : « I have taken into account that the applicant (Pravind Jugnauth) has denied the version of the accomplice (Josian Laval Deelawon) under solemn affirmation. I have also taken into account that there is however nothing else on record to show that the evidence of the accomplice is fraught with difficulties or appears to be unreliable nor spiteful. Therefore, taking into account the statement of the co-accused and the evidence, this Court is satisfied that there is sufficient reliable incriminating evidence on record to level the present provisional charge against applicant (Pravind Jugnauth) and that the nature of evidence is strong. »
Tout autre commentaire ne peut qu’être superflu…

Les autres protagonistes en liberté provisoire : Cautions de Rs 600 000 pour Deelawon et Oomah
Josian Alain Deelawon, directeur de MyGroup Ltd, a été arrêté en possession de deux valises et d’un sac, avec une somme de Rs 108 754 000 en roupies mauriciennes et en devises étrangères lors d’une perquisition menée par la Major Crime Investigation Team en sa résidence de Pointe aux-Canonniers le samedi 15 février. Dès le début de cette enquête, il a balancé le nom de Pravind Jugnauth en relation avec ces valises et ne s’est jamais rétracté à ce sujet.

Chandradeo (Nitsh) Oomah est accusé d’être en possession de Rs 5 570 16.59 en roupies et devises de même que sept montres de luxe lors de la perquisition du 14 février.
Ces deux suspects, en détention policière depuis samedi, ont été remis en liberté jeudi lors de leur comparution devant le tribunal de Pamplemousses. Ils ont eu à fournir deux cautions de Rs 300 000 chacune respectivement, de même que deux reconnaissances de dettes de Rs 5 millions.

Parmi les bail conditions, celle de se rapporter au poste de police le plus proche de leur localité chaque jour entre 6 heures et 21 heures.

Devianee Ramchurn, caution de Rs 400 000 et Bond de Rs 5 M
Devianee Ramchurn, maire de Vacoas/Phoenix, sur qui pèsent des accusations d’avoir assuré en novembre 2024, soit après le dîner de Maradiva du 24 novembre, le transfert des trois valises et d’un sac, contenant les Rs 113 827 621 d’Angus Road à Pointe-aux-Canonniers, a retrouvé la liberté provisoire dès mardi contre deux cautions Rs 200 000 chacune et une reconnaissance de dettes de Rs 5 millions.

La fille de Devianee Ramchurn, qui opère un salon de beauté à Vacoas, a aussi été entendue par la Financial Crimes Commission. Tout indique que Devianee Ramdenee devra tôt ou tard être de retour au Réduit Triangle pour être confrontée à d’autres éléments accablants de l’enquête

Les In-Wating de l’enquête de la FCC : Sanjiv Ramdeeme, paire collée confirmée de Josian Deelawon
Contrairement à son beau-frère l’ex-Premier ministre, Sanjiv Kailash Ramdenee, The Ascot Guy, avec Zouberr Joomaye et consorts, concède d’emblée ses relations d’affaires ou autres avec Josian Laval Deelawon. D’ailleurs, ce dernier, figure incontournable du gambling world, que ce soit des courses hippiques ou des parties de poker, dispose d’un private office dans l’enceinte de l’établissement Maradiva sur la côte ouest (Wolmar).
Au niveau de l’enquête, le frère de Kobita Jugnauth, qui a retenu les services de Mes Howaldar, père et fils, a été entendu une première fois depuis samedi dernier. Entre-temps, l’enceinte de Maradiva a reçu plusieurs visites des limiers de la Financial Crimes Division pour les besoins de cette enquête pour le délit présumé de blanchiment.
Le prochain rendez-vous de Sanjiv Kailash Ramdenee au Réduit Trianle s’annonce plus compromettant vu que le dîner du 24 novembre en présence de Josian Laval Deelawon et de l’ex-Premier ministre sera abordé, surtout la proposition de Pravind Jugnauth à ce dernier à l’effet que « Mo ena enn ti zafer pou anvway twa. »

La Financial Crimes Commission tente de tirer au clair le rôle assumé par Sanjiv Kailash Ramdenee dans l’organisation de ce dîner avec en toile de fond un épisode de Defalke Valiz Larzan.

Bassoo Seetaram sous le coup d’un Notice Upon Departure
Bassoo Seetaram se présente comme l’ombre de Pravind Jugnauth sous le Prime Ministership de ce dernier, avec son nom cité de manière systématique dans des affaires. Avec l’opération Maradiva, Lakaz Mama, il fait l’objet d’un Notice Upon Departure logé par la Financial Crimes Commission auprès du Passport and Immigration Office. Ainsi, il se retrouve en compagnie de Pravind Jugnauth, de l’épouse de celui-ci et de son beau-frère, Sanjiv Kailash Ramdenee.

Jusqu’ici, très peu de renseignements ont transpiré quant aux raisons derrière cet intérêt de la Financial Crimes Commission pour ce chatwa par excellence.

Avinash Gopee au même titre que l’ex-ministre Padayachy
Avinash Gopee, le proche politique de Jugnauth, qui règne en maître sur les terres de Côte d’Or et de Réduit, et bénéficiaire d’une série de facilités bancaires frisant la barre de Rs 100 millions, a tapé dans l’œil de la Financial Crimes Commission au cours de la semaine écoulée. Désormais, il se trouve dans la même posture que l’ancien ministre des Finances, Renganaden Padayachy, avec un Notice Upon Deparure en son nom au Passport and Immigration Office.

Pour quels motifs ? Aucun détail disponible pour celui qui a siégé à la présidence d’une série de boards stratégiques, comme la Drains Infrastructure Construction Limited avec un budget annuel de plus de Rs 10 milliards, le conseil d’administration gérant le complexe sportif de Côte d’Or ou encore la Tourism Authority, octroyant des permis en tous genres dans ce secteur.

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