L’impatience et la frustration n’ont cessé de grandir depuis l’épisode Michael Sik Yuen qui, avec le soutien de Navin Ramgoolam, s’est débarrassé sans ménagement d’un fidèle parmi les fidèles de Xavier Duval, Robert Desvaux. On dit les bleus de plus en plus exaspérés par l’invasion de “l’État travailliste” et ils seraient particulièrement remontés depuis l’attitude adoptée par le Premier ministre avant et après le budget.
Kee Chong Li Kwong Wing, qui a, mardi, donné le coup d’envoi des débats sur le budget 2014, réputé très critique à l’endroit du ministre des Finances, a dû mettre beaucoup d’eau dans son vin et observer que le budget n’était pas celui de “Xavier Duval” mais un collage de mesures sectorielles qui lui a été imposé. Son collègue et colistier Rajesh Bhagwan, connu pour être le démolisseur en chef de l’opposition, a même été jusqu’à remercier le ministre des Finances pour l’enveloppe financière de Rs 40 millions accordées pour soutenir la rénovation du théâtre du Plaza.
ASSEMBLÉE NATIONALE: Lorsque le budget devient un outil pour les grandes manoeuvres politiques
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