Chers Membres du Conseil des Religions,
Faut-il sacrifier la souveraineté et l’intégrité du corps au profit de la science ? Faut-il sacrifier la liberté de l’individu au profit des compagnies pharmaceutiques ? Faut-il sacrifier la liberté religieuse au profit d’une uniformisation de la pensée ?
Il y a encore d’autres questions que nous brûlons de vous poser. Mais il suffirait de répondre à ces trois, pour que nous, simples citoyens, nous nous sentions épaulés dans cette difficile épreuve qu’est le Covid. Depuis l’éclatement de la pandémie, le Conseil des religions s’est vu investi d’une lourde tâche. Comme les politiciens, vous avez encouragé à la vaccination. Pourtant, vous avez préféré manœuvrer à l’aveugle et n’aviez usé d’aucune prudence face à l’éventualité que nous pouvions faire fausse route dans notre stratégie. Vous avez préféré concilier spiritualité et politique. Encore ! Bien que cela semblait être toujours le cas depuis février 1999, au moment où notre pays vivait une des pages les plus sombres de son histoire, le Conseil des religions trouvait toujours la bonne mesure et savait faire entendre sa voix.
Aujourd’hui, le nombre de décès impliquant des personnes vaccinées aurait dû vous faire réagir. Pourra-t-on un jour voir une enquête aboutir sur le lien entre les décès subits et ces vaccins expérimentaux ?
Vous auriez dû réagir aussi après ces cris de désespoir, de parents et d’étudiants qui ont opté à ne pas se faire inoculer. Ces vaccins n’agissent en rien contre l’infection, ni qu’ils empêchent la transmission de la maladie. Comment pouvez-vous rester silencieux quand des Mauriciens se voient refuser l’accès aux établissements éducatifs, ou quand ils sont privés de leurs droits fondamentaux ? Comme le droit de se rassembler pour la prière.
Nous vous en conjurons ! Ne vous rendez pas davantage complices de ces élites sans scrupules, assoiffés de pouvoir. Eux agissent par manque de charité et par la domination. Voyez la détresse des gens qui n’acceptent pas de signer le Consent Form, qui n’est autre qu’un consentement au suicide, contraire à la religion.
Après combien de morts pourra-t-on accepter l’idée que cela puisse venir du vaccin ?
L’Homme a-t-il droit à sa liberté de conscience ou à proclamer son objection de conscience ? Serions-nous encore des hommes et des femmes, sans cela ?
Nous vous prions de bien vouloir prendre la même position que nous, c’est-à-dire, de faire appel au principe de précaution et de prendre la défense de toute âme en détresse.
Nous espérons qu’en agissant ainsi, vous conduirez notre République dans une meilleure avenue. Celle du bon sens !
Bien à vous,
Beverly Appave
Fondatrice & présidente de
Protégeons les enfants de demain (PLED)
Bernard Barbe
Co-fondateur