À Flic-en-Flac : Un septuagénaire s’amuse à tirer du plomb sur tout ce qui le dérange

À Flic-en-Flac, un habitant d’Allamanda Avenue, Morcellement Palmyre – déjà poursuivi par une habitante de la localité pour d’insupportables harcèlements et incivilités – s’amuse à tirer du plomb sur tout ce qui le dérange. Le septuagénaire a été repéré sur la plage utilisant un lanceur de projectiles directement sur les chiens.

Un « lanceur à billes » à la main, l’homme se balade librement sur la plage publique tous les après-midi aux alentours de 17h30, en compagnie de son chien blanc, qu’il promène sans laisse et s’amuse à tirer des projectiles de plomb sur tout ce qui le dérange, en particulier sur d’autres chiens. Le son serait similaire à des coups de feu. Témoin de cet incident qui s’est produit près des caméras, un habitant de Flic-en-Flac a déposé plainte contre lui à la police. 

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1.    Ces billes en plomb avaient été retrouvées chez sa voisine

Cet homme n’est pas inconnu des services de police (dont la Police de l’Environnement), de la Citizen Support Unit (CSU), des forces vives de Flic-en-Flac, ainsi que du Conseil de Village. Depuis trois ans, de nombreuses plaintes ont été déposées contre lui par sa voisine.

À Allamanda Avenue où il habite, il joue au sniper en se plaçant en hauteur, depuis sa terrasse, pour tirer dans la cour de ses voisins, avec son arme. L’année dernière, il avait même brisé la vitre d’une autre voisine. Ce propriétaire d’un bâtiment abritant un pub, qui fait comme bon lui semble, pourrit la vie de ses voisins. « En fait, c’est une personne qui se croit tout permis. Comme sa maison est construite en hauteur, depuis sa terrasse, il tirait sur nos fenêtres, sur nos deux maisons, sur nos chiens. Nous avons retrouvé des projectiles en plomb dans notre cour. Il aurait pu nous blesser ou blesser l’un de nos chiens. Il avait même, pendant plusieurs années, une caméra braquée sur notre piscine. On ne pouvait plus en profiter tranquillement. De plus, il avait tenté d’empoisonner mes chiens en lançant des boulettes dans notre cour. Il utilise également des gros mots, des propos racistes et des insultes », raconte-t-elle.

 

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