Opération Drug Planting — Vidéo de l’ex-WPC Goomanee : Le SP Jagai persiste et signe en évoquant une Edited Video

L’ancien responsable de la PHQ Special Striking Team (SST), le surintendant Ashik Jagai, a été auditionné à l’Independent Police Complaints Commission (IPCC) hier, et ce, dans le sillage de la diffusion d’une vidéo qu’aurait enregistrée l’ancienne WPC Goomanee après l’arrestation de Vimen Sabapati, le 3 juin 2023. Ce dernier fait état d’allégations de Drug Planting, insistant sur l’apparence de son sac de sport, qui serait mince, lorsqu’il faisait son entrée aux Casernes centrales.
Le SP Jagai a rejeté ces accusations qui, selon lui, seraient de fausses propagandes visant à ternir la réputation des officiers de l’ex-SST. Le haut gradé affirme que ces vidéos ont été Edited et filmées d’un certain angle pour donner l’impression que le sac de Vimen Sabapati était quasiment vide. Il a de fait rejeté les allégations de l’ex-WPC Goomanee et se demande pour quelle raison elle aurait attendu tout ce temps pour formuler ces allégations.
Il considère qu’il s’agit d’une tentative de pervertir le cours de la justice étant donné que Vimen Sabapati fait face à un crime grave. Le SP Jagai avance que ses officiers et lui sont prêts à donner tout éclaircissement nécessaire devant une cour de justice.
C’est au Central CID que l’ancienne WPC Goomanee a logé une déposition, où elle affirme que c’est sur les instructions de ses supérieurs qu’elle avait filmé l’arrestation de Vimen Sabapati. Et d’ajouter qu’elle aurait subi des pressions pour transférer la vidéo au SP Jagai. Son appareil a été examiné à l’Information and Technology Unit le 7 mars. Elle affirme que les images sont « originales » et n’ont pas été « edited ».
Le Central CID a transféré ce dossier à l’IPCC étant donné que quelques officiers pourraient être appelés à donner un Statement, et ce, après qu’un officier de l’ex-SST a allégué que Vimen Sabapati aurait tenu certains propos à son égard dans les locaux du Central CID la semaine dernière. Il a demandé que les images des caméras de surveillance au Central CID soient examinées.

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