Après 15 ans de fidélité sans faille à Navin Ramgoolam, même durant sa traversée du désert entre 2014 et 2024, plusieurs associations musulmanes crient aujourd’hui à l’injustice. Leur frustration ? Un traitement qu’elles jugent méprisant dans les nominations aux postes publics.
« Nous étions là quand plus personne ne voulait de lui, et aujourd’hui, on nous jette des miettes », déplorent-elles. La seule reconnaissance ? Des présidences de petits conseils d’administration, loin des postes stratégiques promis en coulisses. Pour ces responsables communautaires, c’est clair : il s’agit d’une marginalisation pure et simple.
Elles demandent désormais des comptes : une représentation digne, proportionnée et équitable. Mais ce cri pour la justice sera-t-il entendu, ou n’est-ce que le dernier acte d’une alliance