« Deux scénarios vont se produire avec le paiement d’un 14e mois de salaire. La première entraînera une dépréciation de la roupie, car il y a une grande attente dans la population. Il faut aussi comprendre qu’en l’absence d’un système de contrôle, les prix des denrées alimentaires augmenteront.
« La deuxième concerne la situation financière du pays, qui est catastrophique. Mais en contrepartie, il y a une attente à la suite d’une promesse électorale. Une promesse électorale doit être honorée envers la population. Il incombe maintenant au Premier ministre et au ministre des Finances de strike the right balance entre l’effet du paiement d’un 14e mois sur la roupie et le bonus. »