Les Missie Moustass Leaks font visiblement le tour des médias sur le plan international, avec notamment la chaîne indienne Firstpost Africa rapportant ce « wiretapping scandal that has been rocking the Indian Ocean island nation just weeks before the general elections ». L’item de presse fait comprendre que des appels téléphoniques de politiciens, de journalistes, de diplomates aussi bien que de la société civile ont été enregistrés et diffusés en ligne.
Le reportage met en avant que plusieurs membres de la presse ciblés à travers ces Leaks ont confirmé l’authenticité des bandes sonores. De son côté, le Premier ministre, Pravind Jugnauth, affirme que ces fichiers audio avaient été manipulés à l’aide de l’intelligence artificielle et que Mauritius Telecom a nié avoir ni intercepté, manipulé ou écouté les conversations téléphoniques.
« The wiretapping scandal is coming at a crucial point for Mauritius, a country considered a stable democracy in the region », note le bulletin d’information de Firstpost Africa.
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