Navin Ramgoolam a tenu a féliciter le bureau du Directeur des Poursuites Publiques pour sa décision prise hier. Cela, après avoir décidé d’initier une enquête judiciaire sur la mort de Jacquelin Juliette malgré que la cause de décès avait conclu à une thèse naturelle. C’est ce qu’a fait comprendre le leader de l’Alliance du Changement ce samedi 26 octobre.
Évoquant les bandes sonores qui ont fait le tour des réseaux sociaux, Navin Ramgoolam a soutenu, au temps où il agissait en tant que Premier ministre « zame pa finn ena invasion de la vie privée ». Conscient que les appels téléphoniques pouvaient être à l’écoute, Navin Ramgoolam a fait comprendre que : « Toultan mo’nn respekte lavi prive bann Morisien (j’ai toujours respecté la vie des Mauriciens) ».
D’ailleurs, il a tenu à prendre l’engagement de venir de l’avant avec une loi en ce sens. « Mo pran enn langazman, kan mo vini, mo pou pas Interception of Communication Bill ». Cela, permettra que « zame ankor enn Premie minis esey ekout konversasion lavi prive dimounn. » L’intervention de Paul Bérenger est aussi allée dans le même sens. Le leader du MMM s’est dit choqué « ki le Commissaire de Police ankor an post ».
Ensuite, Richard Duval a soutenu qu’il faut analyser le contenu de ces bandes sonores. Il a tenu à condamner les propos tenus dans cette affaire.
Pour sa part, Ashon Subron devait faire ressortir que la commission d’enquête initiée par le gouvernement est une « face saving device pou sey kalme les choses ». Le dirigeant de ReA a lancé un appel au calme à deux semaines de la tenue des élections.