#YESWEKANN : Terra revient avec sa campagne à succès
visant à revaloriser les métiers du secteur cannier

« La terre de demain, dan nou lame ». S’appuyant sur ce slogan fort, Terra revient avec #YesWeKann, dans une tentative de revalorisation de l’industrie cannière. La présente campagne de sensibilisation initiée souhaite mettre en lumière les métiers et l’évolution du secteur sucre à travers d’authentiques ambassadeurs : ses précieux collaborateurs.
L’objectif de la campagne est, non seulement, de remettre en perspective cette industrie pionnière, considérée comme étant sur le déclin par certains, mais aussi d’encourager les jeunes à rejoindre ce secteur des plus prometteurs, qui a démontré sa résilience avec la révision à la hausse du prix du sucre à l’international et les perspectives d’évolution de carrière.

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« Nombreux sont les jeunes professionnels aujourd’hui à rechercher davantage qu’un travail rémunéré : ils sont plus en quête d’un métier, d’une carrière qui les feront vibrer, s’épanouir et avec une raison d’être. Chez Terra, c’est ce que nous leur offrons : une raison de se lever chaque matin et de se sentir valorisés, respectés pour leur savoir-faire et leurs compétences. Et c’est pourquoi, pour le troisième volet de notre campagne de communication et de sensibilisation #YesWeKann, nous avons voulu mettre un visage sur ces personnes qui, chaque jour, contribuent à faire grandir Terra : nos multiples talents », explique Rudy Larose, HR Manager à Terragri (Agriculture) et Terra Milling.

Le message est que l’industrie cannière a évolué de manière positive.
« Plus moderne, plus diversifié et plus durable, ce secteur s’est métamorphosé pour accueillir de nouvelles technologies et expertises. Avec la hausse du prix du sucre à l’international, cette industrie, considérée ‘sur le déclin’ par certains, nous a démontré sa résilience, malgré les multiples crises auxquelles nous faisons face depuis quelque temps.

Aujourd’hui, la canne à sucre présente de plus en plus de métiers d’avenir, avec plus de possibilités et moins de pénibilité. Terra investit, d’ailleurs, continuellement en ce sens dans l’optique d’améliorer les conditions de travail et le bien-être de tous nos collaborateurs », fait ressortir Sébastien Mamet, directeur général de Terragri (Agriculture) et Terra Milling.
Le troisième volet de #YesWeKann prend ainsi une tournure nouvelle cette année.

Tout en préservant son ADN qui s’articule sur six axes d’action, à savoir la valorisation de l’industrie et des sous-produits, la préservation de l’environnement, la prévention aux incendies volontaires, la promotion de l’énergie verte et l’efficience économique du secteur, le groupe souhaite cette année mettre en lumière les métiers d’avenir. Terra se positionne aussi comme une terre d’opportunités pour les jeunes d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences, mais aussi une entreprise dynamique qui évolue constamment.

C’est une industrie où chaque jour est une aventure, renchérit Vandana Goorvadoo, ingénieure en irrigation et gestion des ressources en eau. Pour elle, bien que son métier présente d’innombrables défis, il reste passionnant et dynamique. « Il devrait y avoir une meilleure sensibilisation à ce que représente l’industrie aujourd’hui, car les jeunes ont des appréhensions quant à l’avenir de l’agriculture. L’industrie évolue avec la technologie, et nous avons la chance d’en faire partie. Terra nous encourage constamment à donner le meilleur de nous-mêmes. Mon parcours en génie civil s’est transformé en agriculture, et les compétences et aptitudes que j’ai apportées ont grandement bénéficié au secteur », souligne-t-elle.

Sanjula Groodoyal, responsable des opérations aux champs, est du même avis. « L’agriculture numérique représente la nouvelle forme d’agriculture ! Chaque jour, nous avons l’opportunité d’acquérir de nouvelles connaissances et il n’y a pas de place pour la routine. Nos journées commencent dès 6h30 dans les champs, puis se poursuivent par des tâches au bureau dans l’après-midi. C’est pour moi un privilège de travailler en pleine nature et pour moi, l’industrie est appelée à durer », devait-elle conclure.

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