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Affaire Hubble : deux renvois en deux jours

Le déroulement de la Alain Perdrau Farewell As Trainer, course principale de la 10e journée, a fait couler beaucoup d’encre. En effet, le propriétaire Bahim Khan Taher s’est dit lésé par la tournure des événements et la tactique employée par le cavalier Roby Bheekary. Initialement prévue pour mardi et une première fois renvoyée pour le lendemain, toujours à 14h, cette enquête ne connaîtra pas de dénouement cette semaine, car elle a été une nouvelle fois postponed.

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C’est plus précisément la monte de Roby Bheekary associé à Holy Warrior qui a mis les connexions de Hubble dans tous leurs états. La raison ? Pour eux, Holy Warrior a nui grandement aux chances du favori et ils cherchent réparation quant à la tactique suicidaire employée. Décortiquons la tactique adoptée par les différents protagonistes. Il n’est un secret pour personne que Hubble excelle dans la course à l’avant, et le couloir plaidait en sa faveur. Holy Warrior, qui rempilait pour une deuxième semaine de suite, n’avait pas été gâté par la ligne. Pour garder ses chances intactes, Roby Bheekary a bousculé son compétiteur et les premiers 400m avaient été couverts en environ 24s.

Toute cette affaire aurait pu se terminer le jour de la compétition. Accompagné du CEO de PTP PLC, K. K Ubheeram, Bahim Khan Taher était parti à la rencontre du Chief Stipe Deanthan Moodley, qui pas bronché, mais Bahim Khan Taher n’en démord pas. Il a ses convictions et ne compte pas faire marche arrière. Pour ce propriétaire d’expérience, vainqueur du Maiden en 2013 avec Man To Man, les turfistes ont été pris pour les dindons de la farce et il l’a fait savoir au Chief Stipe par le biais d’une correspondance. « If I have to go at a higher level on this Matter, I will not hesitate » : c’est en ces termes que le propriétaire a expliqué son mécontentement.

Pour faire la lumière sur toute cette polémique, la Horse Racing Division a décidé d’ouvrir une enquête à la Happy World House dès mardi dernier, mais une première fois renvoyée pour le lendemain, elle devait de nouveau être annulée, car le propriétaire du cheval n’était pas disponible. À l’heure où nous mettions sous presse, on ne savait toujours pas quand elle allait se tenir.

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