Les boulangeries se retrouvent au bout du rouleau. Entre les dettes, la hausse des prix du carburant et du coût de production, elles n’arrivent plus à faire face à la situation. Ainsi, sept boulangeries sont forcées à fermer temporairement leurs portes et à arrêter leurs opérations.
« Lakes vid, pa pe zwenn le de bout », lance le porte-parole de l’Association des propriétaires de boulangeries, Naseer Moraby. « Face au prix du fret et à la dépréciation de la roupie face au dollars, le prix du pain reste le même », déplore-t-il.
L’association demande ainsi la révision à la hausse du prix du pain.
« Nous lançons un appel aux autorités. Nous avons même écrit au ministère des Finances, mais nous sommes toujours en attente d’une réponse. Entre-temps, nos dettes s’accumulent », souligne le porte-parole.