Secteur bancaire : profits de Rs 2,1 Mds pour SBM Bank (Mtius)

La SBM Bank (Mauritius) Ltd a réalisé des profits Rs 2,1 milliards pour l’année financière 2021, soit une hausse de Rs 636 millions par rapport à 2020. Les actifs de la banque ont également grimpé de Rs 47,6 milliards (+20,79%), passant de Rs 228,9 milliards au 31 décembre 2020 à Rs 276,5 milliards au 31 décembre 2021.

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« Ces résultats augurent des perspectives intéressantes quant à notre performance sur les mois, voire les années à venir. Pour réaliser ce chiffre, nous avons respecté le plan stratégique qui a été mis en place en 2020, et dont nous continuerons l’application sur les prochaines années. Ces résultats sont d’autant plus encourageants qu’ils ont été réalisés dans un contexte socio-économique assez difficile, en tenant compte du confinement de 2021 et des défis nés dans le sillage de la pandémie, et qui ont nécessité une réaction rapide », souligne Anoop Nilamber, Chief Executive Officer de SBM Bank (Mtius).

Outre les profits de Rs 2,1 milliards, d’autres chiffres marquent l’année financière 2021, dont une charge de dépréciation (impairment charge) ayant baissé de presque 40% entre le 31 décembre 2020 et le 31 décembre 2021. Les dépôts ont augmenté sensiblement, passant de Rs 191,1 milliards en 2020 à Rs 243 milliards au 31 décembre 2021. Les fonds propres de la banque affichent une hausse de Rs 19,8 milliards au 31 décembre 2020 à Rs 20,5 milliards au 31 décembre 2021. De plus, la SBM demeure bien capitalisée avec un ratio d’adéquation des fonds propres de 17,33%.

« Les perspectives économiques nationales pour 2022 dépendront largement de la durée du conflit russo-ukrainien, de son impact sur les principaux partenaires commerciaux du pays et du niveau de l’inflation. Par conséquent, bien que le contexte demeure incertain, la banque maintiendra une mise en application rigoureuse de son orientation stratégique en se concentrant sur l’amélioration de la qualité du service, la consolidation de sa position dans les segments clés et le renforcement des capacités, tout en améliorant la culture de gestion des risques », ajoute Anoop Nilamber.

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