Le ministre des Infrastructures nationales, Bobby Hurreeram, a souligné que « my good friend, the brillant Reza Uteem, a trouvé que c’est un bon projet de loi. Mais en raison de la politique, il a fini par défendre les faux profils. A écouter le député Nando Bodha, on a aussi l’impression qu’il souhaite deux lois, une pour les adultes et une autre, moins sévère, pour les jeunes. Mais un délit reste un délit », affirme-t-il
Il trouve également inconcevable qu’on soit en train de faire avancer un projet de loi et que « certains le résument à de la political pettyness». Il poursuit : « Ils sont complètement à côté de la plaque. Ce projet de loi est aussi la réponse pour traîner en justice les abus. Il vise à être conforme à la convention de Budapest sur la cybercriminalité, et que 64 pays ont déjà ratifiée. »
« L’histoire fera savoir un jour ce qui a été dit au Parlement lorsque ce projet de loi avait été présenté. Peut-être que je ne serais plus là à ce moment-là, mais j’espère que mon fils sera là pour écouter », indique le ministre. Il reprend : « Ces mêmes parlementaires, lorsqu’ils étaient au pouvoir, entre 2005 et 2014, n’ont rien fait pour améliorer la loi actuelle. Les insultes et des attaques gratuites sont devenues monnaie courante. À croire que nous sommes au Far West. »
Il défend bec et ongles « ce projet de loi ainsi que la mise sur pied d’un National Security Committee, dont le but principal est d’aviser le gouvernement sur la cybercriminalité ». Avant de conclure : « Nous devenons de plus en plus exposés lorsque le pays est mis en avant dans un lieu où on peut faire du business. C’est pourquoi il faut protéger nos infrastructures clés contre les cybercriminels. »