ADITYA RAMESSUR (16 ans)
Les premiers rayons du soleil apparaissent
Faisant étinceler la rosée du matin.
La brise effleure la peau comme une tendre caresse
Tout est tellement calme, tout est tellement serein
Mais qu’est-ce que nous voyons un petit peu plus loin
Voilà une trace bien faite par des humains
Une bouteille en plastique au milieu d’un ruisseau
Une telle pollution, ce n’est vraiment pas beau
Éloignons-nous de ce lieu, regardons ailleurs
Comme cette forêt qui ne sera plus tout à l’heure
Profitons en avant qu’une route ne la remplace
Que pouvons-nous faire sinon prendre des photos
Au cas où notre mémoire nous ferait défaut
Dans un monde où la nature n’a plus sa place.