S’inscrivant comme une année de changements profonds pour le monde, 2020 nous a forcés à nous réinventer. Alors que d’entières sociétés ont été remises en question, nos vies ont été transformées et nos modèles de fonctionnement – individuels aussi bien que professionnels – ont été révolutionnés.
Aujourd’hui, nous réalisons plus que jamais que la clé de la prospérité à l’ère post-pandémie/post-lockdown se trouve dans la technologie, qui nous a accompagnés durant ces temps de doutes et d’instabilité. Des exemples de cette réussite se retrouvent dans le renouvellement et la création des modes d’interaction, qui ont brillé durant cette année: le télétravail, l’enseignement à distance, les achats en ligne, la promulgation de soins de façon innovantes. A ainsi été formé le socle de nos nouvelles habitudes dirigées vers l’avenir.
Economiquement parlant, le rythme du changement est déjà énorme. La semaine dernière, lorsque Huawei a lancé un laboratoire 5G à l’Université de Wits, le Professeur Adam Habib, vice-chancelier de Wits, a expliqué comment cette institution avait été complètement mise en ligne en trois semaines pendant la pandémie; processus qui prenait auparavant au minimum trois ans. Cette pandémie mène donc à nous surpasser si nous disposons des outils adéquates pour nous supporter.
Notons que le mouvement vers le digital et les outils internet s’est produit à plusieurs niveaux; non seulement dans les lieux de travail et la vente au détail, mais aussi dans l’éducation et le divertissement. Ainsi, il devient pertinent de se dire que ce mouvement sera permanent. Ce qui explique pourquoi le trafic de données a connu une hausse de plus de 40%, alors que le recours aux services numériques a explosé en Afrique subsaharienne durant la même période.
Les gouvernements africains ont rapidement réagi et répondu à la demande. Des recommandations ont été formulées et de nouvelles politiques d’approche établies, comme l’a fait le président de la commission 4IR en Afrique du Sud.
Certaines de ces mesures – récemment annoncées par la ministre des Communications, des Télécommunications et des Services postaux, Stella Ndabeni-Abrahams – incluent un engagement à investir dans le capital humain, la création d’un institut d’intelligence artificielle, la mise en place d’une plate-forme pour la manufacture de pointe, et le maintien de la sécurité des données pour permettre de pérenniser l’innovation. Dès lors, il est primordial de réaliser que de telles initiatives doivent être fortement encouragées, afin d’ouvrir la porte aux entreprises des TIC, les aidant à contribuer toujours plus au développement socio-économique de nos pays respectifs.
Les gouvernements peuvent, en outre, favoriser les développements axés sur les TIC grâce à des mesures visant à assurer un déploiement rapide et sain des infrastructures technologiques. Tout en aidant à réduire les coûts associés. Ils peuvent aussi offrir, par exemple, des allègements fiscaux visant à rendre les outils technologiques, tels que les smartphones, plus abordables.
Selon la GSMA, que 28% des 1,3 milliard de citoyens africains sont abonnés à l’internet mobile, contre une moyenne de 48% à échelle mondiale. De fait, une stratégie pour bâtir une meilleure Afrique grâce aux TIC consisterait à investir dans les compétences numériques en vue de rapprocher le taux africain de la moyenne mondiale, et d’ouvrir le champs aux innovations.
Cependant, la connectivité n’est pas qu’une question de couverture ou de vitesse, mais se constitue également des facteurs d’utilisation et d’inclusion. Il est, à cet effet, primordial d’investir davantage dans les compétences numériques de nos contemporains, pour mieux leur donner les moyens de l’utiliser, et ce, non seulement pour accéder aux idées et innovations mondiales, mais aussi pour avoir la chance d’y contribuer tout en se développant.
Pour que les TIC puissent au mieux jouer leur rôle d’accélérateur de croissance et d’égalisation sociale, il est temps d’accélérer la connexion des foyers, des entreprises et, en particulier, des PME (petites et moyennes entreprises). Et de moderniser l’infrastructure numérique pour mieux répondre à la demande croissante de services en ligne.
Huawei, pour sa part, est profondément conscient de sa responsabilité à cet égard et investit constamment aussi bien en compétences qu’en infrastructures, afin de fournir des réseaux de connexion adaptés, tout en offrant à ses employés la possibilité de les utiliser pour leur propre développement.
Visant à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde entièrement connecté et intelligent, Huawei a, en Afrique du Sud, convergé vers ce but en utilisant l’intelligence artificielle de ses services pour aider les clients à prévoir et à gérer les réseaux, améliorant ainsi l’efficacité des opérations de plus de 30%. En Angola, les solutions d’alimentation numérique du géant chinois ont diminué les coûts énergétiques des stations de base jusqu’à 70%, réduisant efficacement l’empreinte carbone des opérateurs.
Huawei, fort de ses solutions logicielles, défend aujourd’hui pouvoir augmenter l’efficacité des connexions haut débit en local de 30% tout en réduisant les coûts de 40%. Ce qui pourrait amener davantage de ménages et d’entreprises africains en ligne. Dans le domaine du cloud et de l’IA, les centres de données locaux sud-africains récemment lancés par Huawei fournissent des services de cloud public en Afrique du Sud, et sur tout le continent. Les académies Huawei ICT ont été créées dans plus de 400 universités de premier plan dans 17 pays africains, produisant plus de 50 000 diplômés certifiés.
« Notre geste n’est qu’une composante de ce qui doit être un mouvement à l’échelle mondiale pour relancer notre société vers l’ère post-pandémique de l’autonomisation numérique. Il est temps pour nous de prospérer. Ceci demandera à tous de mettre le pied à l’étrier et la main à la pâte pour bâtir un avenir meilleur pour nous-mêmes et pour tous les peuples d’Afrique », conclura Chen Lei, Président de Huawei Southern Africa.