L’ADSU, avec la collaboration de la CANS, est sur le qui-vive au port, redoutant la complicité de certains employés, qui ont accès sur place pour faire entrer de la drogue sur notre territoire.
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Selon nos renseignements, les différentes caméras de surveillance sont strictement scrutées par les autorités, tandis que des patrouilles régulières se déroulent dans le périmètre.
Durant le week-end, 11 personnes, qui ont accès au port, ont été soumises à des fouilles corporelles. Comme rien d’incriminant n’a été trouvé sur elles, elles ont été relâchées sans condition.