L’article du Week-End de dimanche dernier concernant l’état dans lequel se trouvait le stade d’athlétisme de Côte d’Or après le concert de la star indienne, Arijit Singh, aurait suscité le branle-bas de combat lors de la semaine écoulée. D’abord, fait-on remarquer, les détritus, cannettes de bière et autre bouteille d’alcool ont disparu, alors que la piste a été vite nettoyée ! Les membres du Mauritius Multisports Infrastructure Limited (MMIL) se sont-ils rencontrés en urgence après la publication de cet article ? On ne le sait pas, même si certains avancent avoir constaté un mouvement en début de semaine !
Qui a fixé le prix des billets pour le match Angola-Maurice prévu le 21 novembre au stade de Côte d’Or et comptant pour les éliminatoires du Mondial 2026 ? Est-ce le ministère des Sports, la Mauritius Football Association (MFA) ou les deux ? À en croire l’affiche toutefois, c’est la MFA qui s’en serait chargée, dans la mesure où c’est elle qui organise. Sauf qu’une question demeure. Comment se peut-il qu’il en soit ainsi ? Ce stade appartient à l’État qui ne reconnaît pas cette association, compte tenu du fait que ses règlements ne sont pas reconnus par le Registrar of Associations ! Alors comment cette même MFA peut-elle faire des sous au nom de l’État, alors que sa légalité est toujours questionnée ? Comprenne qui pourra…
Les relations entre deux entraîneurs à Petit Camp seraient actuellement très tendues, fait-on remarquer. Il nous revient, en effet, que le bon travail de l’un, notamment avec les plus jeunes, ne serait pas vu d’un bon oeil ! Même que certains voudraient le pousser vers la sortie, alors qu’il est pourtant un coach certifié de la fédération internationale. Cette situation n’a pas laissé insensible un groupe de parents au point de les pousser à signer récemment une pétition qui a été adressée au président de la Fédération mauricienne de tennis (FMT), Kamil Patel. Ce malaise confirme, qu’on le veuille ou pas, l’état dans lequel se trouve le tennis local, une discipline qui n’a même pas été en mesure de faire le poids lors des récents Jeux des Îles ! Preuve de la gestion et du fonctionnement hautement questionnable d’une fédération qui souffre cruellement de vision.
La constitution de la Horse Racing Division pour la prochaine saison est déjà un sujet de conversation au sein de la Gambling Regulatory Authority et ailleurs. On en parle, on en discute… car aucun faux pas n’est permis à ce niveau. Il faut bien choisir et retenir que ceux qui peuvent être malléables, manœuvrables et moutonniers. Nous ne savons pas si des étrangers seront pressentis pour faire partie de la HRD, mais ce que nous savons c’est qu’un ex-jockey Sud-Africain, employé de la PTP est bien placé pour être nommé commissaire des courses. Le nom d’un entraîneur est aussi cité, mais le hic, c’est qu’il a été sanctionné tout récemment car certains de ses chevaux ont été testés positifs.
Le Chief Stipe, l’Indien Riyaz Mohammad Khan subit actuellement de fortes pressions, venant non seulement de la GRA, mais d’ailleurs. Il ne sait plus à quel saint se vouer. Il en voit de toutes les couleurs. La pression est telle qu’il a déjà fait savoir, que quoiqu’il advienne, il partira en vacances en décembre. Maintenant, il s’agit de savoir si c’est un aller simple ou un aller-retour.
Nouvelle prise de bec entre le CEO de la PTP K.K. Ubheeram et le chef de la sécurité Coowar Damadarsing. Ce dernier rappelons-le avait donné sa démission et après quelques semaines de réflexion, il était revenu à de meilleurs sentiments pour reprendre son poste. Mais, il semblerait que ces deux hommes ne s’entendent pas, surtout quand il s’agit de l’entretien de la petite piste. Si le CEO trouve qu’elle est bien maintenue, en revanche le chef de la sécurité la trouve exécrable. D’après vous, qui a raison ?
La People’s Turf PLC avait réuni les opérateurs de ‘Jeux piqués’ pour passer en revue leur situation au Champ de Mars. C’était l’occasion propice pour eux de manifester leurs mécontentements. Ils ont effectivement fait savoir à la PTP que l’environnement du Champ de Mars n’est plus ce qu’il était auparavant. La maintenance et le nettoyage laissent grandement à désirer et qui plus est, ça pue de partout. Et ils n’ont pas torts, car ça pue également dans les courses où les combines ne se comptent plus.
L’Association mauricienne de boxe (AMB) est-elle la seule organisation représentant les intérêts de la boxe localement ? Pas nécessairement après l’organisation d’une deuxième soirée professionnelle vendredi à Trianon, après celle du 10 juin, pas n’importe où, mais bien au complexe sportif de Côte d’Or et appartenant à l’État ! Ce qui ne serait cependant pas vraiment surprenant en considérant que l’International Boxing Association (IBA) autorise la pratique de la boxe amateur, simultanément avec la boxe professionnelle. Contrairement à l’AMB qui ne semble pas vraiment épouser cette idée de la fédération-mère ! Sinon, comment expliquer la mise à l’écart de la sélection nationale de l’entraîneur Bruno Julie depuis le 18 septembre et pire, pour une durée indéterminée !
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