Goodlands : les maraîchers demandent à revoir le fonctionnement du nouveau marché

Les commerçants qui opèrent dans le nouveau marché à Belmont ne se sentent plus confortables pour travailler. « Avan nou ti pe vann sink a sis bal lalo par zour, aster-la nou vann selman sink ou sis liv lalo. Nou komers finn bien afekte, pena mem klian ki ti ena dan Goodlands », regrette un marchand de légumes.

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Iswarduth Gunness, le porte-parole des commerçants, estime que la distance jusqu’au nouveau marché à Belmont pose problème à ceux qui n’ont pas de moyens de transport. « Pli pratik pou bouze pou al dan Goodlands ki al Belmont, malgre ki bazar Goodlands pa ti dan kondision izienn. Bann klian fini abitie dan Goodlands. Konsey distrik bizin revwar fonksionman nouvo marse Belmont. Nous ne pouvons plus continuer à vendre des légumes à bas prix », dit-il.

« Nous investissons pour l’achat de légumes, mais finalement, nous n’avons pas de clients comme à Goodlands. Il est temps de revoir le fonctionnement du nouveau marché à Belmont », suggère également Rajesh, un autre maraîcher. Plusieurs réunions ont eu lieu entre les autorités compétentes et les marchands au cours desquelles ces derniers ont soumis leurs requêtes. « Nous avons essayé de faire entendre notre voix pour exprimer nos inquiétudes. Mais cela n’a pas été possible. L’inauguration du marché avait déjà eu lieu », déplore un autre marchand.

Le nouveau marché de Goodlands, construit à hauteur de Rs 300 millions sur une superficie de 11 arpents, comprend trois blocs avec un total de 480 stands de poissons, 22 stands de poissons et de viandes, entre autres. Les discussions visant à résoudre les problèmes auxquels les commerçants du marché de Goodlands font face perdurent. Iswarduth Gunesh, le porte-parole des commerçants, s’interroge. « Eski pa finn ariv ler pou rezet fonksion sa nouvo marse ? »

Selon les commerçants et maraîchers, ils n’arrêtent pas d’avoir des problèmes depuis qu’ils sont venus s’installer à Belmont. Ainsi, dans une lettre qu’ils avaient adressée aux autorités, ils avaient souligné que le conseil de district n’avait pas fourni les structures de base nécessaires, notamment des cintres, essentiels pour exposer les vêtements de manière appropriée. Ils remettent aussi en question la suggestion selon laquelle les structures devraient être quotidiennement montées.

Selon Rajesh, il est temps que toutes les parties concernées s’assoient autour d’une table pour résoudre les problèmes soulevés. « Finn

investi plis ki Rs 350 milion dan sa nouvo bazar-la. Bizin trouv solision aster », insiste-t-il.

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