« Il reste encore des traces de l’esclavage en ce moment ». C’est ce qu’a souligné Ashok Subron lors du 189e anniversaire de la commémoration de l’abolition de l’esclavage.
Cet événement était organisé par Rezistans ek Alternativ, General Workers Federation et le Joint Negotiating Panel, ce jeudi après-midi à Vieux-Grand-Port au musée de Fort Frederick Henrick.
Lors de son intervention, Ashok Subron a fait ressortir que la loi régissant le travail comporte encore des traces ayant trait à l’esclavagisme.
« Des cas de discriminations sont toujours présents et il nous faut les combattre », a ajouté le syndicaliste. Il est aussi revenu sur les événements liés au passage du cyclone Belal.
« Nou propriete kikenn. Se sa kikenn-la ki pou desid lor nou lavi si pou al travay ou pa pou al travay », a déclaré Ashok Subron.
Il déplore que ce sont ces organisations qui agissent comme décideurs pour les employés.